Comment améliorer votre taux d’ouverture, booster votre taux de réponse ou automatiser vos campagnes pour plus de performances… nous sommes rarement avares de conseils sur les bonnes pratiques de l’email marketing. Mais cette fois ci, nous vous proposons une liste des choses à ne surtout pas faire ! Car bien que l’email soit encore le canal marketing le plus rentable pour les entreprises, le succès d’une campagne n’est pas automatiquement assuré. Alors notez bien cette liste de mauvaise pratiques… pour ne plus jamais les reproduire !
Mauvaise pratique #1 : Tout raconter dans le titre de votre email
Le sujet de votre email est la première chose que voient vos lecteurs. Si vous souhaitez piquer au vif leur intérêt, évitez absolument de dépasser les 50 caractères et de dévoiler tout le contenu de votre courriel. Rédigez un titre court et accrocheur, suffisamment explicite pour intéresser le lecteur… mais pas trop non plus, afin de lui donner envie de cliquer pour en savoir plus ! En effet, si le contenu du mail doit être assez direct pour espérer convertir, un titre long et détaillé risque à l’inverse de diminuer votre taux d’ouverture.
Mauvaise pratique #2 : Oublier de rendre votre emailing responsive
Saviez-vous que plus de la moitié des emails ouverts dans le monde le sont sur un support mobile ? Sauf à vouloir diviser par deux vos performances, vos campagnes d’email marketing doivent dorénavant s’adapter à cette tendance et privilégier un design responsive afin de s’adapter à tous les supports nomades. Rédigez également des textes courts et lisibles qui seront compatibles avec toutes les diagonales d’écran, et optimisez vos images pour limiter le temps de chargement sur mobile.
Mauvaise pratique #3 : Loger tout le monde à la même enseigne
C’est vrai qu’il est tellement plus simple de shooter l’intégralité de votre carnet d’adresses avec un seul et même message… alors à quoi bon segmenter ? Eh bien tout simplement parce qu’une bonne segmentation vous permet de faire parvenir des messages plus pertinents à vos contacts ! En fonction du profil socio-démographique et des comportements du destinataire, la segmentation de votre base vous permet d’adresser des messages personnalisés avec un timing idéal. Et plutôt que de finir dans la liste des spams, vous fidélisez votre lectorat tout en augmentant drastiquement vos taux de conversion !
Mauvaise pratique #4 : Ignorer les call-to-action
C’est bien connu, ces boutons parsemés de part et d’autre de votre email perturbent son design ainsi que la lecture de vos destinataires ! C’est en tout cas une façon de voir les choses. Car les CTA répondent en réalité à différents objectifs : générer des visites sur une page spécifique, faire bénéficier d’une promotion, donner l’accès à un formulaire d’enquête, télécharger un contenu exclusif, rediriger du trafic vers vos réseaux sociaux… la liste est loin d’être exhaustive ! Pour être efficace, les CTA se doivent d’être correctement placés dans l’email afin d’inciter le lecteur à cliquer dessus puis à consommer votre contenu. Le meilleur emplacement ? Au-dessus de la ligne de flottaison, assurément ! Pour autant, n’hésitez pas à intégrer plusieurs call-to-action en les disséminant jusqu’au pied de page de votre missive. Les statistiques sont formelles : les emails possédant plusieurs CTA génèrent en moyenne davantage de leads !
Mauvaise pratique #5 : Ne surtout pas vérifier le rendu final
Intégrer une maquette email – ou même le construire à partir d’un éditeur wysiwyg – peut s’avérer plus long qu’il n’y paraît. Et lorsque l’on arrive au bout, il peut-être tentant de cliquer sans perdre plus de temps sur “envoyer”. Pourtant c’est surement l’étape la plus importe que vous êtes en train de bâcler. Avant d’expédier votre emailing à tous vos contacts, réalisez toujours un dernier test en expédiant votre message à une liste de diffusion restreinte composée de quelques collègues ! C’est l’occasion de vérifier l’affichage de votre emailing sur différents terminaux et supports de messagerie. Ce test en condition réelle reste le meilleur moyen d’identifier des bugs d’affichage… ainsi qu’une erreur dans un lien ou tout simplement une coquille dans un texte.